Wanted: qui a parlé de la fin du film le 25 juin?

La fin du film sur De quoi?

Comme ça fait un petit moment qu’on n’a dit merci à personne, on reprend cette bonne habitude et on en profite pour faire un petit coucou à De quoi? et à Matière à réflexion, deux blogs qui ont eu la gentillesse de citer votre blog préféré (si, si, avouez…).

Et on se dépêche, en plus, parce qu’on avait repéré 4 ou 5 autres blogs qui avaient consacré un billet à notre noble cause, mais v’là-t-y pas qu’ils ont tous disparu, Skyblog les ayant inscrits sur sa liste noire… Too bad.

Et pour finir on lance un avis de recherche: les stats de La fin du film indiquent un pic de trafic le 25 juin dernier, pour l’essentiel en entrée directe sur www.la-fin-du-film.com donc pas moyen de voir d’où viennent nos gentils visiteurs. Comme ça ressemble beaucoup à ce qui se passe quand un journal papier ou une radio parle de nous, si l’un d’entre vous peut éclairer notre lanterne et nous dire qui nous a cités, ça serait ben cool qu’il nous laisse un commentaire pour éclairer notre lanterne. En comme on est pas chiens, les 10 premiers recevront une dispense pour ne pas aller voir le film de leur choix dans leur salle habituelle. Alors: lâchez vos com’ 😉

La Colline a des yeux 2 (2007)

La colline a des yeux 2 sur La fin du film Et à la fin il meurt

Un premier film de Wes Craven sorti en 1977 sous le même nom, puis une suite en 1985, toujours sous le même nom, un troisième opus oublié dans les années 1990. Avant qu’en 2006 ne sorte un remake originellement appelé « La colline a des yeux », suivi donc maintenant d’un autre… « La colline a des yeux 2 ». Mais attention, cette suite n’est pas le remake de la suite déjà sortie en 1985, alors que la version de 2006 en était bien un. Beaucoup de variations pour ce qui aurait pu n’être qu’un seul bon film à partir d’une idée destinée à tester nos nerfs: égarer un groupe d’humains dans une zone sous contrôle de l’armée américaine perdue au fond du désert, sur une colline encore occupée par de sombres mineurs (comprenez: des gens qui creusent des trous, pas des gamins sans carte d’électeur habillés à la mode gothique), victimes selon les versions de difformités, de consanguinité, d’explosions nucléaires Lire la suite

Dans Paris (2006)

Dans Paris sur La fin du film Et ça fionit en queue de cheval

Paul (Romain Duris), après une rupture provinciale et difficile avec Anna (Joanna Preiss), revient à Paris chez son père (Guy Marchand) et son frère Jo (Louis Garrel) pour y faire une petite dépression. Sauf que la devise de cette famille, c’est « Prends la peine d’ignorer la tristesse des tiens ». Pas évident donc de se faire entendre par un père pour qui « Moscou ne connaît pas les larmes » et qui l’interrompt tout le temps, ni par un frère qui passe ses journées d’étudiant à s’acoquiner avec toutes les jolies demoiselles qu’il croise, ni par une mère (Marie-France Pisier) absente depuis trop longtemps.

Il arrive enfin à avouer à son père Lire la suite

Michael Moore, ange ou démon (Manufacturing dissent, 2007)

Michael Moore ange ou demon sur La fin du film

Les documentaristes sont-ils toujours tenus de nous dire la vérité ? A la fin de ce film, vous ne serez pas plus avancés pour répondre à la question à mille balles, mais on vous aura montré les méchantes faiblesses de l’auteur de « Roger et moi », « Bowling for Columbine » et « Farenheit 9/11 ». Il est parano, contradictoire, on le voit clairement en train de Lire la suite

Match Point (2005)

Match Point sur La fin du film Et à la fin il gagne

Match Point est un film cynique et sans morale dont la mission est de rappeler à chacun l’arbitraire de la vie: qu’ici bas, rien n’est juste ou injuste, tout est simplement affaire de chance. La fin de ce film va donc en ce sens et ne pouvait finir que bien pour le héros principal.

En fait de héros, Chris est plutôt un anti-héros: arriviste et opportuniste d’abord puisque, tennisman raté, il n’aspire qu’à monter dans la société en utilisant sans scrupules le tremplin de Lire la suite

La vie est belle (1998)

 La vie est belle sur La fin du filmEt à la fin il meurt

Guido (Roberto Benigni) est un libraire un peut fantasque qui tente de protéger son fils (Giosue, 5ans) de l’antisémitisme (nous sommes en Italie en 1943). Malheureusement ils se font arrêter et envoyer dans un camp de travail (la femme de Guido, qui n’est pas juive, insiste auprès des allemands pour monter dans le train). Au camp, Guido cache Lire la suite

Dialogue avec mon jardinier (2007)

Dialogue avec mon jardinierEt à la fin le jardinier meurt

Pas vraiment de scoop sur la fin ce de long dialogue entre un jardiner simple et attachant et un peintre citadin compliqué ayant oublié le sens premier des choses qu’il voit. Pas vraiment de scoop parce qu’avant même de le voir, on se doutait déjà (si, si, je t’assure) qu’il entrait dans la catégorie «et à la fin, tu te rappelles que toi, pauvre crétin de citadin prisonnier de ta routine Lire la suite

Midnight Express (1978)

Midnight Express sur La fin du film 

Billy Hayes (Brad Davis) passe ses vacances en Turquie avec sa copine, c’est top cool, sauf que Billy veut ramener quelques kilos de hash aux States pour arrondir son argent de poche. Manque de bol, à cause du plan vigipirate local, il est fouillé avant l’accès à bord et la police turque trouve la drogue planquée sous ses vêtements. Résultats 4 ans à la prison de Istanbul (qui se changeront par la suite en 30 ans pour faire un exemple).

Après 5 ans de réclusion plutôt Lire la suite

Shrek le troisième (2007)

Shrek le troisième sur La fin du film

A la fin, Shrek, sans doute amoindri par la perspective de sa future paternité et plutôt mou du bide question baffes et coup de genoux dans les burnes, se retrouve cerné par la bande de teigneux rameutée par Charmant à la taverne de la méchante belle-soeur (la méchante, pas l’autre méchante belle-soeur).

La pièce semble contre toute attente devoir se mal terminer pour le gros monstre couleur (et pas que) artichaut Lire la suite

Boulevard de la mort (2007)

Boulevard de la mort sur La fin du filmEt à la fin il meurt

Le film est en deux parties, autant donc en dire les deux fins. La première moitié voit notre Stuntman Mike (Kurt Russell), pilote cascadeur cherchant les mêmes sensations sur un tournage que sur les routes, prendre son pied à allumer les demoiselles américaines qui sont déjà pas mal chaudes. Après un petit numéro de charme au bar où tout ce petit monde se rencontre, l’une des chicks entame une sensuelle lapdance, charmée qu’elle est par la noirceur mystérieuse qui nimbe notre pilote. Ce dont il la remercie un peu plus tard en lui fonçant dedans en sens inverse, le choc Lire la suite