Fast & Furious 3 – Tokyo Drift (2006)

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Une fois n’est pas coutume, amis lecteurs, je vais faire court… il faut dire qu’il n’y a pas grand chose à dire céans.

Sean Boswell est casse-cou(illes) lambda, fan de tuning qui a eu de graves soucis avec la police californienne : pour lui c’est soit la taule, soit partir vivre sous la tutelle de son père, militaire basé à Tokyo… le pauvre petit, dis donc.

D’abord paumé, il se lie d’amitié avec le caricatural Twinkie (Lil Bow Wow), et bien sûr, ses vieux démons le reprennent, il recommence ses tuneries, et finit par draguer « par mégarde » la copine de D.K (aka Drift King, c’est sa seule identité), super boss tokyoïte du drift (technique de glisse dans les virages).

Cette poufette est bien sûr est une gaïjin (= sale étrangère, oui, pour de vrai) tout comme lui… tout cela est d’une vraisemblance folle dans une société japonaise proverbialement conservatrice, comme tu le constates.

Après un défi où il se fait humilier, Sean ne lâche pas l’affaire, et s’entraîne avec le concours de Han, un « pote » de DK le super méchant à drifter, donc. La copine à bouche en coeur et micro-jupe est de plus en plus open.

Bilan : l’affaire remonte aux oreilles de l’oncle de DK, qui est un yakusa et ne veut pas que le déshonneur s’abatte sur son nom, le gentil pote traître meurt, et Sean, assoiffé de vengeance, remporte le dernier « duel », la nana, et l’humiliation du super méchant, battu à son propre jeu… avant de croiser Vin Diesel sur la route, qui le connaît, et qui lui propose un ptit practice, hop hop hop, histoire de pas perdre la main, et d’annoncer aux spectateurs et chroniqueurs d’Allociné qu’hélas… cette mascarade est loin d’être terminée !!

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