Ghost Rider (2007)
Je sais pas vous mais moi, les super-héros, c’est ma came. Mais franchement, ce que je préfère par dessus tout, c’est encore les copines des super-héros.
Je m’explique.
Après avoir conclu un pacte foireux avec le Diable en personne, Nicolas Cage se transforme en squelette enflammé, le « Ghost Rider » (oui, ça a à voir avec le titre), et se retrouve à faire les courses pour son boss en ramenant les âmes égarées en Enfer (brrrr…). Et le reste du temps, il fait des cascades en motocyclette (brrrr…brrrr…), du genre sauter la distance d’un terrain de foot par dessus des hélicos en marche (brrrr… brrrr…brrrr…). Tout se complique quand le rejeton du Diable fait sa crise d’adolescence et débarque sur Terre pour récupérer un contrat de… enfin, plein d’âmes, pour faire la nique à papounet et lui piquer sa place. Et comme un malheur ne vient jamais seul, vlà la nana que Nico avait larguée pendant son adolescence (Eva Mendes, en pleine(s) forme(s)), devenue journaliste, qui refait surface. Et là, Nico a du mal à se contrôler, fait le macho sur l’autoroute en solex pour l’impressionner (brrrr… brrrr…brrrr… brrrr…), bref, il la drague à mort. Et croyez-moi si vous voulez, mais ça marche ! (Y’a pas de justice…)
Mais le petit sacripan du Diable commence à faire des siennes et Nico se fâche tout rouge, s’enflamme (au propre comme au figuré), et ça commence à bastonner sévère. Après quelques péripéties et crises métaphysiques du genre « je t’aime, mais j’ai une double vie alors faut qu’on arrête de se voir » (et ce malgré le décolleté vertigineux de la miss), Eva est finalement enlevée par le gamin de Lucifer. S’ensuit l’affrontement final, Nico galère un peu mais finit quand même par renvoyer le chenapan dans ses pénates (super-héros oblige).
Belzébuth est content, propose de libérer Nico de sa malédiction, il pourra ainsi filer le parfait amour avec sa belle, mais va comprendre, il refuse et décide de garder ses pouvoirs pour… combattre Belzébuth en personne. Super-héros, ça doit être super-difficile des fois.
Eva a pas l’air plus affectée que ça, et après un baiser étonnamment chaste (au vu de la plastique de la belle…), Nico se casse en cyclomoteur (brrrr…) dans le soleil couchant pour de nouvelles aventures…
Voilà, grosso-modo c’est ça, et si tu veux savoir pourquoi le Nico adolescent a largué comme une vielle savate la bombe latino pour aller faire le mariolle sur son tricycle (pttt… pttt… pttt…), va donc faire un tour sur Allocine.
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