Les brigades du tigre (2006)
Valentin (joué par Clovis Cornillac) est tombé (au milieu du film) amoureux de la princesse russe Constance (Diane Kruger). Mais celle-ci, marié au prince Bolonski, travaille en fait
à la perte de son mari car elle était la maîtresse d’un anarchiste, Jules Bonnot (Jacques Gamblin), idéaliste mort dans une fusillade avec les hommes de Valentin. Constance est piégée par le dernier des hommes de la bande à Bonnot , un russe obsédé par Ivan le terrible qui a placé des ampoules électriques piégées dans la loge princière d’un spectacle. Avertie par Valentin qui la sauve in-extrémis (mais le prince y reste, lui !)Constance atterrit en prison pour tous ses crimes. Valentin propose de l’aider à s’évader, mais elle veut payer pour ce qu’elle a fait et lui avoue alors le meurtre du jeune inspecteur Achille Bianci : elle lui avait planté une paire de ciseaux dans le dos. Désespéré, Valentin la quitte juste avant le jugement, et passe, sombre, devant la guillotine dressée dans la cour. Il ne saura donc pas qu’elle a été condamnée à retourner en Russie pour y expier ses fautes. Accusé par le préfet de police, il réussit à l’impliquer dans le scandale des emprunts russes et garde sa place au sein de la brigade. L’épilogue montre les membres restants de la Brigade du Tigre, heureux malgré tout : l’inspecteur Pujol (édouard Baer) demande en mariage la femme qui l’a aidé dans l’affaire et qui y a laissé une partie de son visage (vitriolée…), Terrasson, qui n’a pas été ruiné par les emprunts russes grâce à Valentin peut marier sa fille comme il le souhaitait, et Valentin se raccroche aux copains comme il peut.
Mais bon, on sait qu’il y arrivera, puisque un deuxième opus est en préparation, même qu’ils l’ont dit sur Allociné (ils savent tout, là-bas….)
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