Ne le dis à personne (2006)

Ne le dis à personne sur la-fin-du-film.com Ils vécurent heureux etc.

Le docteur Alex Beck (François Cluzet) pense depuis 8 ans que sa femme a été torturée et tuée par un serial killer (-Un quoi? -Un sérioll killeuwr… ok je sors). Mais voilà un beau jour il reçoit un e-mail avec un lien pointant vers une vidéo de surveillance sur laquelle ladite femme apparait bien en vie.

En fait c’est on ne peut plus simple tordu, voici l’histoire (qu’on ne découvre qu’à la fin) au présent de narration:

La femme, qui s’appelle Margot (Marie-Josée Croze) travaille dans une association caritative avec le fils (Guillaume Canet en caméo) d’un riche homme d’affaire (Jean Rochefort, ami des chevaux). Le jeune homme a des tendances pédophiles et Margot se rend compte qu’il fait des trucs pas nets avec les gamins de l’asso. Du coup elle l’engueule et lui la tabasse. Elle prend un fusil de chasse et lui offre un fourrage au plomb, résultat, il meurt.

Le papa de Margot, qui est gendarme s’arrange pour que sa fille disparaisse (parce que le riche homme d’affaire, qui est un peu le parrain de la mafia locale, a engagé des gens peu recommandable pour la tuer) en faisant croire à tout le monde qu’elle est morte. Pour la persuader de partir il lui dit que les vilains ont tué Alex.

Mais voilà, huit ans plus tard (donc au moment du film, tout ce que je viens de raconter c’est du flashback) Margot apprend qu’Alex est vivant (je vous passe les détails c’est pas la fin et j’ai promis de faire plus court que Matrix) elle tente de reprendre contact mais la police et les hommes de Jean Rochefort se liguent pour les empêcher de se retrouver. Mais ça marche pas : à la fin l’amour triomphe et Alex et Margot se retrouvent (enfin) sur les lieux de leur amour d’enfance (ça veut rien dire mais c’est beau).

Voilou, ne le dites à personne mais le début est sur Allociné ou sur Wikipedia mais pas à cet endroit là.

Zut j’ai oublié de dire que le titre du film vient du message dans l’e-mail! Ah ben c’est fait.

[Eric edit]: les amateurs se délecteront de l’excellent travail critique de Ka-Ly`sur In Blog We Trust (attention: ce blog joue à ni bleu ni Richard Antony).

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