Influences (2003)
Avant de mourir, Jilli Hopper (Tea Leoni) a remis à Eli Wurman (Al Pacino) une sorte de gameboy qui est en fait une mini camera. On comprend qu’elle a filmé au cours de nombreuses parties fines d’importants hommes politiques, maire inclus. Al Pacino s’en sert pour les faire chanter, dans l’unique but de s’assurer leur présence à sa soirée de charité en faveur des immigrés nigérians (dont tout le monde se fout). Le « soir » J arrive : ils sont tous là, et Eli peut savourer son succès. Tout le monde veut de nouveau faire appel à ses services comme gourou de l’événementiel. Il est de nouveau au sommet. Kim Basinger est là aussi, c’est sa vieille amie qui est venue à New York pour tenter de le convaincre de tout quitter pour s’installer avec elle à la campagne. Finalement, tandis qu’il la raccompagne à son hotel à la fin de la soirée, Eli Wurman décide de raccrocher et lui promet de prendre le train de midi le lendemain.
Il s’arrete acheter un journal, un type le poignarde, mais Eli est tellement shooté de medicaments et d’alcool qu’il ne s’en rend pas compte… Il rentre chez lui et meurt installé devant sa télé. Au petit matin, il est là dans son fauteuil, une flaque de sang à ses pieds, et la télé diffuse un celèbre show americain qui encense sa soirée de la veille. Pour savoir comment tout ce merdier a commencé et ce que viennent y foutre des Nigérians, va faire un tour sur Allocine.