La Nuit au musée (2007)
Il est vrai que ce n’était pas simple de rendre un musée d’histoire naturelle sympatoche et animé mais de là à le transformer en Disneyland, y’a plus d’un gardien (et d’une rédactrice de la-fin-du-film) qui aurait laissé tomber !… Mais pas Larry qui est un winner qui s’ignore. Puis, n’insistez pas, cette phrase sera ma seule référence au début.
Je vais maintenant surtout m’atteler à expliquer à ceux qui sont ressortis de la salle acheter du pop corn dans la deuxième partie du film ; au moment où Larry trouve comment occuper le Tyrannosaure Rex, tout en donnant à Robin William des conseils drague pour approcher Pocahontas ; et en essayant de contenir une guerre des Romains contre les cow boys pendant que les hommes de Cro-Magnons découvrent le briquet et qu’Attila, lui, se découvre un complexe d’abandonnisme maternel… à ceux-là donc, je voudrais dire: pas de panique. Vous comprendrez tout de même la toute fin.
A la toute fin, donc, Larry aidé de Toutankhamon (ou était-ce Akhenaton ? Cela dit, sûre que ce n’était pas Nefertiti, je m’en serais aperçue…), empêche les méchants gardiens (oui c’était eux) de voler la tablette magique, aider par tout ce qui passe par la tête du réalisateur. La jolie guide commence à le trouver charmant et surtouuuut, surtout… il devient un héros pour son fiston chéri qui ne le prend plus pour un minable. Rhaaaaa si c’est pas moral tout ça!
Si tu veux savoir comment on joue au frisbee avec un animal préhistorique, va lire le début sur Allociné, mais tu auras peu l’occasion de l’appliquer, encore que…
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