REC (2008)
… ou l’auberge espagnole façon zombie! M’étant fié aux bonnes et pertinentes critiques (non non, il n’y a pas du tout de sarcasme) que l’on peut retrouver sur Allocine, je suis allé voir ce que nos amis qualifient de « bon film ».
En quelques mots: Angela est journaliste pour une télévision locale. Accompagnée de son caméraman, elle relate le quotidien de ceux qui travaillent la nuit. Ce soir, elle est dans une caserne de pompiers. La nuit est calme, aucune urgence. Jusqu’au coup de fil d’une vieille dame qui réclame du secours (on entend d’horribles cris dans son appartement). Angela voulait que son reportage sorte de l’ordinaire, elle va être servie (à point aux zombies!).
Allez, zou, pas la peine de s’attarder: dans le grenier de l’immeuble vivait un savant un peu fou qui menait des expériences sur des cas de possession démoniaque. Chargé par l’Eglise de s’occuper d’un cas spécial il l’étudie et confectionne un virus mutant. Lui se tire de ce bordel, ferme la porte à clef et laisse tout ça derrière lui, croyant que confiné là le virus n’allait pas s’étendre.
Sauf que… le chien d’une gamine de l’immeuble chope le virus (on ne sait pas comment ) et se retrouve chez le véto pour se faire piquer! Le virus se transmettant par la salive, la gamine est donc contaminée (apparemment le virus n’agit pas sur elle aussi vite que sur la vieille, dont on ignore d’ailleurs comment elle a été contaminée). Donc s’ensuivent moult rebondissements très prévisibles, des pseudo-tensions naissent et le racisme de certains renaît alors, et nous avons également droit à quelques clichés très fameux!
Tout ça filmé façon caméra épaule pour donner davantage d’authenticité au film et pour que le spectateur se croie dans l’action.
Vous voulez savoir la fin? Bah… y meurent tous!
Les commentaires sont fermés.