Crocodile Dundee (1986)
Même quand on bouffe du croco au p’tit déjeuner (après l’avoir tué soi-même avec son canif puis dépecé avec le même instrument), la grande ville est pleine de dangers: New York, c’est la jungle, c’est plein de travelos qui essaient de te brancher et de vieilles rombières à qui t’es obligé de mettre la main au paquet pour t’assurer que c’est pas des travelos. Bref, la zone – et si les gros méchants toutous te lèchent les mains dès que tu leur fais les cornes, c’est pas ça qui va suffire à ce que Linda Kozlowski (dans le rôle de la journaliste Sue Charlton) te suce la pomme malgré toute l’envie qu’elle en a.
Car ce qui désole Michael J. Dundee (Paul Hogan, khôl et dents blanches), c’est qu’un blanc-bec de la ville (à qui il a déjà filé une ou deux galoches dans les gencives à cause qu’il lui chiait dans les bottes) a demandé la miss en mariage et que celle-ci a plus ou moins accepté. Alors Crocodile Ozzie se tire les pattes du palace où on l’a parqué et s’en va tailler un bout de brousse à travers l’Amérique.
Sauf qu’il a à peine atteint la première station de métro que déjà la blonde le course pour lui déclarer sa flamme – cette Sue, quel tempérament! Voilà les deux tourtereaux qui se gueulent leur amour d’un bout à l’autre d’une station de métro surpeuplée, et qui finissent par tomber dans les bras l’un de l’autre grâce à l’aide de la foule sur les têtes de laquelle Hogan essuie ses bottes en croco.
Si tu veux savoir à quelle occasion Crocodile Dundee mate pour la première fois les formes avantageuses d’une Géraldine de la haute et le rapport avec son saurien fétiche, va faire un tour sur Allocine.
Les commentaires sont fermés.