Fantômes contre fantômes (1997)

Fantômes contre fantômes sur La Fin du Film 

Frank Bannister (Mickael J. Fox) a eu un accident, et sa femme y est morte (avec un nombre tatoué sur le front, mais il ne se le rappelle pas !). Depuis ce moment, il voit les esprits des morts qui ne sont pas partis dans l’au-delà, et, suffisamment copain avec trois d’entre eux,

il arnaque de pauvres gens en pratiquant des exorcismes bidons. Mais un jour, il voit une marque de lumière sur le front d’un passant, et d’un autre, etc.. qui meurent tous dans d’étranges circonstances… Aidé par une jeune femme médecin (veuve, son mari a fait partie du lot !), il se rend rapidement compte qu’un sérial killer qui avait fait 12 victimes des années auparavant est de retour pour améliorer son score, sous forme de poltergeist habillé en faucheuse. Croyant que l’ex petite amie du tueur est en danger, il court à son secours avec la belle Lucy, pour se rendre compte que cette donzelle vieillissante est en contact permanent avec son meurtrier de petit ami, qu’elle seconde dans tous ses crimes. Ils ont entre autre tué la femme de Franck après l’accident… Lui-même finit par être tué et décide d’emmener dans la mort la méchante Patricia, qui doit le suivre comme fantôme dans le tunnel de l’au-delà.A mi-parcours, Patricia est récupérée par le méchant esprit Johnny, alors que Franck est entrainé vers le paradis…mais le tunnel se transforme rapidement en train vers l’enfer et les deux horribles tourtereaux sont rapidement emmenés vers leur (sombre) destin. Là-haut, Franck retrouve se femme et ses amis fantômes (qui s’étaient sacrifiés un par un dans le combat contre le méchant), et il est renvoyé dans son corps car son heure n’est pas encore venue. On le retrouve avec Lucy, amoureux, ayant tourné la page et prenant un nouveau départ dans la vie, surtout que Lucy, qui a failli se faire tuer par le couple démoniaque, a maintenant le même don que lui, pour voir les esprits.

Bref, un film drôle et un petit peu effrayant, du futur metteur en scène du Seigneur des Anneaux, comme ils l’expliquent si bien sur Allociné (c’est fou comme ils sont doués là-bas…)

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