La vie est belle (1998)
Guido (Roberto Benigni) est un libraire un peut fantasque qui tente de protéger son fils (Giosue, 5ans) de l’antisémitisme (nous sommes en Italie en 1943). Malheureusement ils se font arrêter et envoyer dans un camp de travail (la femme de Guido, qui n’est pas juive, insiste auprès des allemands pour monter dans le train). Au camp, Guido cache Giosue pour lui éviter la chambre à gaz.
Un beau jour l’alarme sonne, c’est la débandade, les soldats emmènent les prisonniers hors du camp pour les exécuter. Guido cache Giosue dans une boîte aux lettres et part à la recherche de sa femme. Mais il se fait prendre et abattre dans un recoin sombre du camp.
Giosue, qui a sagement attendu qu’il n’y ai plus un bruit, sort de sa cachette et tombe nez à nez avec un char d’assaut américain et un G.I. lui propose de monter faire un tour (joie du gamin: Guido lui avait raconté que le camp était un immense jeu pour gagner un char d’assaut). Sur la route quittant ce lieu de mort ils croisent la mère de Giosue, joie, larmes, fin.
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