Une vérité qui dérange (2006)
Voilà une fin de film idéalement propice à ces temps Nicolas Hulotiens. La fin est, comme on s’en doute, à l’image du début: remplie de courbes inexorables, de leçons d’éducation, de prières et d’appels au secours aux pouvoirs politiques qui sont en somme « la seule énergie renouvelable » de la planète…
A la fin du film, Al Gore part avec ses courbes, ses signaux d’alarme et son bâton de pèlerin prêcher le pacte écologique aux quatre coins de l’univers (enfin, sauf en Antarctique où il n’y a plus que de l’eau car l’exode des Inuits a sûrement déjà commencé…) rappelant qu’on est tous responsables et que la planète n’est pas un pastis géant (bah oui?): il ne suffit pas de quelques glaçons pour la refroidir…
Avant que tu rentres chez toi jeter tous tes aérosols, va prendre une bouffée d’oxygène sur Allociné, mais t’étonne pas quand même si malgré ça tu respires moins bien…
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