Norway of life (2007)
Gageure s’il en est que de raconter (la fin de) ce film. Patron, on ne m’y reprendra plus à spoiler des films norvégiens.
Le bus qui aura amené dans les cinq premières minutes notre gentil Andréas (Trond Fausa Aurvag) dans cette ville si étrangement vide d’enfants, d’odeurs, de musique, cette ville si aseptisée d’émotion, et dans lequel il sera embarqué de force, va finalement le déposer en plein blizzard… et l’abandonner. Châtiment dont on suppose qu’il est réservé aux rares ceusses mettant en péril l’équilibre citadin, qui creusent par exemple ce fameux mur derrière lequel se trouve une cuisine, la mer, et même Lire la suite