La fin du film dans Le Figaro

 La fin du film dans Le Figaro

A tous nos amis qui arrivent en masse sur la-fin-du-film.com suite à l’aimable allusion du Figaro (ou par toute autre voie d’ailleurs), un petit message d’excuse du taulier qui, à son retour de vacances (fin juillet, si, si…), s’est octroyé un petit mois supplémentaire de glandage online, histoire de voir tout plein de films sans raconter la fin, pour une fois.

Mais ça redémarre d’ici la fin de la semaine, avec réunion de l’équipe, mise en ligne des trucs en stock, des spoilers en pagaille et des T-shirts à gagner (naaaaaan, je déconne).

Allez, bisous à tous.

Juste un truc pour ceux qui sont allés au cinoche hier et ne peuvent pas attendre dimanche pour connaître la fin du film qu’ils sont allés voir: à la fin de Paranoïak, Shia LaBeouf finit par buter son tueur en série de voisin et par se faire sa voisine (du coup on lui enlève son bracelet électronique). Et à la fin de HairSpray, gentils blancs, noirs et obèses signent la fin de l’Amérique ségrégationniste en élisant une petite black reine du bal dans un show TV revisité à la mode mixte. 

Stay tuned 😉

[Eric edit du 24/08] suite à une panne de ma Freebox depuis hier, le redémarrage de la-fin-du-film.com pourrait être retardé; décidément, la reprise est dure… 🙁

L’éveil de Maximo Oliveros (2007)

L'éveil de Maximo Oliveros 

Pour ne point créer la panique chez nos millions de lecteurs, on évitera d’écrire qu’il s’agit d’un film philippin. Donc, voilà-voilà-voilà, c’est un film monégasque. Malgré cela, tout se passe à Manille, au sein du petit peuple, ce qui prouve bien que Monaco est concerné (ou concernée, selon les goûts sexuels du lecteur, toi par conséquent, ami ; et du sexe, il va en être justement question). Sujet : la pédophilie, et j’en vois déjà dont les yeux vrillent mais qui vont faire semblant de se scandaliser. Patience…

C’est de la pédophilie, mais Lire la suite

Le feu sous la peau (2007)

Le feu sous la peau sur La fin du filmEt à la fin elle gagne

Un film chaud comme l’été qui finit sur ce qu’il montre au début : c’est bien notre héroïne qui est indirectement responsable de la mort de son père. Ou disons directement mais pas littéralement : en réussissant à Lire la suite

El camino de san Diego (2007)

El camino de san Diego sur La fin du film Et à la fin il gagne

Pour toi, lecteur puriste (il doit bien s’en trouver), c’est « san Diego » avec une minuscule, car il ne s’agit pas d’un patelin nommé San Diego, mais d’un saint ou considéré comme tel dans son pays, Diego Maradona, footballeur, tu avais deviné.

Tati Benítez est un jeune chômeur, fan absolu, comme ils disent sur France Inter, du joueur de baballe en question. Employé à un petit boulot, ramasser du bois dans la forêt pour un artisan qui fabrique des bibelots, il découvre une souche qui lui semble représenter le visage de Maradona. Aussitôt, il dégrossit un peu l’objet, puis décide d’apporter la statue ainsi obtenue à son idole, qui vient d’être hospitalisée à Buenos Ayres. Mais non, pas à la suite d’une overdose, que vas-tu imaginer ? Obstacle, Buenos Ayres est loin, et Tati est fauché, ce qui, s’il vivait à Paris, le contraindrait à faire ses courses dans les magasins du même nom (ça va, tu suis ?).

À ce stade, lecteur à qui on ne la fait pas, tu te dis à coup sûr qu’on s’apprête Lire la suite

The Bubble (2007)

The Bubble sur La fin du film Et à la fin il meurt

C’est Roméo et Juliette version homo, et situé à Tel-Aviv de nos jours – détail shakespearien qu’aucun critique de presse n’a relevé (un ahuri est allé jusqu’à y voir « une version de Friends »…). On vous résume : au cours d’une période militaire, l’Israélien Noam rencontre le Palestinien Ashraf. Revenu à la vie civile, il retrouve le garçon, tous deux conviennent qu’ils s’aiment, et Ashraf, qui n’a pas de papiers israéliens, est hébergé clandestinement et sous un faux nom dans l’appartement que Noam partage avec son ami Yelli, autre homo, et Lulu, une jolie fille sympathique. Jusqu’ici ça va, comme disait Lire la suite

Délice Paloma (2007)

Délice Paloma sur La fin du film

Le film idéal pour un chroniqueur du site que tes yeux éblouis, lecteur aimé, parcourent en ce moment même. En effet, surtout s’il est tire-au-flanc (le chroniqueur, pas le film), il aura la fin de l’histoire et la conclusion du présent article dès les trois premières minutes de la pellicule.

L’héroïne – le personnage central, si vous préférez qu’on évite toute équivoque – se nomme Zineb Agha, mais elle se fait appeler « madame Aldjéria ». À ce détail Lire la suite